DE ALAA EDDINE ALJEM
Au beau milieu du désert, Amine court. Sa fortune à la main, la police aux trousses, il enterre son butin dans une tombe bricolée à la va-vite. Lorsqu’il revient dix ans plus tard, l’aride colline est devenue un lieu de culte où les pèlerins se pressent pour adorer celui qui y serait enterré : le Saint Inconnu.
Remarqué au dernier Festival de Cannes, ce premier film teinté d’absurdité jubilatoire et de fausse naïveté dynamite le culte des croyances au Maroc.
FICTION